Oeuvre : Précisions - 2001.21.1 0310 (BUGATTI : 28) | Musée national de l'Automobile |





Ancienne(s) appartenance(s):
Appellation historico-commerciale:
Bugatti 28
Aspect général:
Autre(s) numéro(s):
30 ; 30 (N° Schlumpf)
Carrosserie:
Carrosserie tourisme et loisir>Carrosserie ouverte>Torpédo
Création / Exécution:
[Hors hiérarchie], F, MOLSHEIM (lieu de création)
1921 (sortie d'usine)
Datation absolue:
1921
Date de création:
March 25, 2021 8:27 AM America/Eastern Standard Time/New York (EST) -5:00
Date de création / exécution:
1921
Date de dernière modification:
September 14, 2022 5:26 AM America/Eastern Standard Time/New York (EST) -5:00
Date de l'acte d'acquisition:
11/04/1963
Description:
Automobile à carrosserie en bois et aluminium de type torpédo. La partie arrière de la carrosserie est de couleur grise et la partie avant ainsi que les garde-boue sont en aluminium. Deux phares ronds, sellerie cuir noir, 4 places assises. Volant réglable (2 branches à l'origine) avec les commandes depuis le poste de conduite d'allumage, de carburateur... Le vilebrequin à 9 paliers.
Diffusion:
Domaine(s) DMF:
Dénomination:
automobile particulière ou de sport
prototype
Historique de l'oeuvre:
Ettore Bugatti dévoile pour la première fois une voiture sans vocation sportive, le type 28, au Salon de l’Automobile de Paris d’octobre 1921, puis à Londres en 1922. De surcroit, tout est nouveau pour cette Bugatti, en particulier son moteur à huit cylindres en ligne, rompant ainsi avec sa production de quatre cylindres en ligne. Toutes les caractéristiques du châssis convergent résolument vers une voiture de luxe associant puissance, silence et souplesse de conduite. Elle ne déroge toutefois pas à la signature bien personnelle d’Ettore Bugatti marquée par la recherche de singularité, d’excellence et de performance jusque dans les matériaux et techniques de construction. La « fabrique de Molsheim » en fit sa vitrine technologique durant plusieurs années, ce que nous appellerions un concept-car aujourd’hui : « Jamais plus, au cours de sa carrière, Bugatti n’accumulera autant de nouveautés dans un seul modèle » écrit l’historien de référence pour cette époque, Norbert Steinhauser .
Resté à l’état de prototype, il incarne une période charnière pour la marque Bugatti. Les raisons de cette innovation sont multiples. En premier lieu, c’est probablement l’envie du fondateur de la marque de se distinguer par une voiture de luxe, qui « ne sera à comparer avec aucune autre voiture de ce genre », qui a germé dans son esprit bien avant la première guerre mondiale. En second lieu, les mutations de l’industrie automobile et la paix retrouvée ne sont probablement pas étrangères à cette nouvelle ambition.
Resté à l’état de prototype, il incarne une période charnière pour la marque Bugatti. Les raisons de cette innovation sont multiples. En premier lieu, c’est probablement l’envie du fondateur de la marque de se distinguer par une voiture de luxe, qui « ne sera à comparer avec aucune autre voiture de ce genre », qui a germé dans son esprit bien avant la première guerre mondiale. En second lieu, les mutations de l’industrie automobile et la paix retrouvée ne sont probablement pas étrangères à cette nouvelle ambition.
Identifiant:
69
Identifiant universel unique OAI:
oai:mmsa.webmuseo.com:Base-MNA/publicationNotices/10368
Illustrations:
Index appellations historico-commerciales:
Index carrosserie:
Index dénominations:
Index lieux de création:
Index matières:
Localisation permanente:
Marque:
Matières et techniques:
Aluminium, bois, cuir, verre, tôle (gris, carrosserie)
Mesures:
H. 1,6 m, l. 1,7 m, L. 4,35 m
Mode d'acquisition:
Nomenclature interne:
Notes sur les réalisations:
Boîte-pont à l'AR
Numéro d'inventaire:
2001.21.1
Numéro d'inventaire MNA:
0310
Oeuvre du domaine public:
oui
Où:
Protection(s):
Classé MH
Quand:
1921
Statut(s) juridique(s):
Achat
Type:
28